CRÉMET NANTAIS AUX FRAMBOISES

Le crémet nantais aux framboises est un entremets composé de crème fraîche liquide, fromage blanc, blancs d’oeufs, sucre glace et vanille, garni de framboises fraiches et en coulis.

Originaire du pays nantais, ce dessert crémeux et onctueux se déguste accompagné de fruits frais ou de compotes. On ajoute parfois un demi citron et des feuilles de menthe ou bien du poivre et de la ciboulette, un peu d’ail ou des fines herbes en version salée. Le crémet nantais est proche par sa composition du crémet d’Angers et sa consistance mousseuse rappelle celle du Fontainebleau en plus légère. Quant au crémet d’Anjou à base de crème fraîche et de blancs d’oeufs en neige, il a été surnommé en 1921 le « régal des dieux » par le critique gastronomique Curnonsky.

Facile à préparer, léger et aérien, ce dessert délicieux se déguste lors des collations de la journée.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 10 min
Temps de repos :
Temps de cuisson :
Temps total : 10 min
6 personnes
300 g de framboises (ou fruits rouges)
300 g de crème fraîche liquide
300 g de fromage blanc
4 blancs d’oeufs de belle taille
1,5 cuillère à café d’extrait de vanille
1,5 cuillère à café de sucre glace

Préparation :

  • Dans une passoire, faire égoutter le fromage blanc et mettre au réfrigérateur.
  • Dans un bol, battre la crème fraîche liquide jusqu’à obtenir une consistance de chantilly.
  • Ajouter un peu de sucre glace et de vanille tout en battant.
  • Dans un bol, monter les blancs en neige ferme.
  • Dans un autre bol, fouetter le fromage blanc puis incorporer délicatement la crème chantilly avec une spatule en effectuant des mouvements lents de bas en haut puis les blancs en neige.
  • Répartir la préparation dans des verrines.
  • Laver, rincer et sécher délicatement les fruits.
  • Placer sur le dessus et autour (en pressant éventuellement les fruits rouges pour obtenir un coulis).
  • Mettre au réfrigérateur. Servir et déguster !

Citation :

“La gastronomie fait trembler d’intelligence nos narines.”

Charles Monselet