OMELETTE SOUFFLÉE AU ROQUEFORT (AVEYRON)

L’omelette soufflée au Roquefort est une omelette composée d’œufs, Roquefort, crème fraîche, beurre, huile d’olive, sel et poivre; accompagnée d’une salade aux noix.

Originaire d’Aveyron, composée de Roquefort, fromage mentionné pour la première fois au XIe siècle, symbole historique de la région des causses et vallées de l’Aveyron, cette omelette traditionnelle réalisée à la campagne se déguste lors des repas accompagnée d’une salade verte et de noix du Rouergue.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 15 min
Temps de repos :
Temps de cuisson : 10 min
Temps total : 25 min
4 personnes
8 œufs
125 g de Roquefort
50 g de cerneaux de noix
1 cœur de salade frisée
25 g de beurre doux
1 cuillère à soupe de crème fraîche épaisse
1 cuillère à soupe de vinaigre balsamique
3 cuillères à soupe d’huile d’olive
sel, poivre

Préparation :

  • Peler et hacher finement l’échalote. Couper, laver, essorer la salade.
  • Dans un petit bol, ajouter l’échalote ciselée, le sel, le poivre, le vinaigre balsamique et l’huile d’olive. Mettre de côté.
  • Dans une poêle, faire torréfier à sec les noix. Mettre de côté.
  • Dans un bol, casser 4 œufs.
  • Séparer les blancs des jaunes des 4 autres œufs.
  • Dans un bol, battre les 4 jaunes d’œufs à la fourchette.
  • Dans un autre bol, monter les 4 blancs d’œufs en neige ferme.
  • Dans le bol des jaunes d’œufs, ajouter le Roquefort émietté et la crème fraîche.
  • Poivrer, saler un peu et mélanger à la fourchette sans fouetter.
  • Ajouter délicatement les blancs en neige en effectuant des mouvements lents de bas en haut avec une spatule.
  • Dans une grande poêle, faire chauffer le beurre et y verser la préparation.
  • Faire cuire à feu doux durant 7 à 8 min, l’omelette doit rester souple. Retourner l’omelette et laisser cuire très peu de temps.
  • Placer sur un plat de service.
  • Servir immédiatement avec la salade assaisonnée de vinaigrette et parsemée de noix.
  • Déguster !

Citation :

“La cuisine, c’est quand les choses ont le goût de ce qu’elles sont.”

Curnonsky