POULET BASQUAISE (LANDES)

Le poulet basquaise (ou poulet à la basquaise) est un plat composé de morceaux de poulet fermier mijotés dans une sauce piperade (sauce confite aux poivrons rouge et vert, tomates, oignons, ail, huile d’olive, vin blanc, bouquet garni, poivre et piment d’Espelette).

Originaire de la région de la Soule, à l’Est du Pays Basque, la sauce basquaise est appelée « Eskualdun Saltsa » en basque ou « piperade ». La recette du poulet basquaise est ainsi une recette de poulet grillé cuit doucement avec de la piperade, traditionnellement servi dans une cassole en terre cuite (cazuela).

Facile à préparer, savoureux et léger, il se déguste en plat principal lors des repas éventuellement accompagné de riz.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 25 min
Temps de repos :
Temps de cuisson : 1 h 30 min
Temps total : 1 h 55 min
6 personnes
6 cuisses et hauts de cuisses de poulet (de préférence fermier)
3 oignons jaunes
3 gousses d’ail
3 petits poivrons (vert, jaune, rouge)
4 grosses tomates
220 ml de vin blanc sec
750 m de coulis de tomate
huile d’olive/sel/poivre
1 bouquet de basilic / 1 bouquet d’origan

Préparation :

  • Émincer l’ail, les oignons.
  • Nettoyer les poivrons et couper en lanières.Faire revenir l’ail, les oignons et les lanières de poivrons dans une poêle à feu doux avec un peu d’huile d’olive, puis mettre de côté.
  • Dans une cocotte avec un filet d’huile, faire dorer les morceaux de poulet. Saler et poivrer.
  • Une fois dorés, verser le vin blanc dans la cocotte pour déglacer les sucs de cuisson.
  • Incorporer l’ail, les oignons et les poivrons puis les tomates coupées en dés.
  • Ajouter le basilic et la moitié de l’origan.
  • Abaisser le feu et faire mijoter durant 10 à 15 min.
  • Ajouter le coulis de tomate, assaisonner et faire mijoter à feu doux durant 1 h jusqu’à ce que les morceaux de poulet soient tendres.
  • Servir chaud décoré avec le restant d’origan et déguster !

Citation sur la cuisine :

“La cuisine, c’est quand les choses ont le goût de ce qu’elles sont.”

Curnonsky