Fougasse d’Arles de Noël

La fougasse d’Arles de Noël ou pompe à l’huile d’olive de Provence est une fougasse sucrée composée de farine, huile d’olive, orange, eau de fleur d’oranger, sel, sucre et levure de boulanger.

Spécialité de la ville d’Arles faisant partie des 13 desserts provençaux de Noël, elle est préparée pour le gros souper (repas du réveillon de Noël). Elle ne doit pas être confondue avec le gibassié, croquant, à la texture un peu sablée, plus plat et parfumé à l’anis; ni avec la pompe au beurre, brioche en forme de fougasse.

Facile à préparer, cette fougasse délicieuse à la fleur d’oranger se déguste lors des collations de la journée.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 25 min
Temps de repos : 5 h
Temps de cuisson : 25 min
Temps total : 50 min + 5 h (repos)
Portions : 6 personnes
700 g de farine, tout usage
1/2 verre d’huile d’olive (100 ml)
1 orange
45 ml d’huile d’eau de fleur d’oranger
200 g de sucre en poudre
25 g de levure de boulanger
2 pincée de sel
1 jaune d’oeuf

Préparation :

  • Dans un bol, délayer la levure dans un peu d’eau tiède avec 65 g de farine et une pincée de sucre.
  • Laisser reposer dans un endroit tiède (22 à 25 °C) durant 2 h.
  • Dans un grand bol, verser la farine restante, l’huile d’olive, le sucre restant, le sel, l’eau de fleur d’oranger, le zeste d’orange et un tiers de verre d’eau. Bien mélanger, puis incorporer le levain de façon homogène.
  • Former une  boule avec la pâte, recouvrir avec un linge propre et laisser lever environ 2 h dans un endroit tiède.
  • Reprendre la pâte et dégazer.
  • Abaisser la pâte et former deux disques d’environ 2 cm d’épaisseur sur une plaque huilée.
  • Faire des entailles en rayons à 2 cm du centre du disque et laisser reposer encore 1 h.
  • pompe
  • Dorer au jaune d’œuf battu.
  • Préchauffer le four en mode statique à 150°C.
  • Ajouter un bol d’eau pour humidifier l’air du four et enfourner 20 à 25 min. Surveiller la fin de cuisson.
  • Déguster tiède ou froid !

Citation sur la cuisine :

« La bonne cuisine, c’est le souvenir. »

Georges Simenon