Les palets normands sont des biscuits composés de farine, sucre de canne, beurre demi-sel, œufs, levure chimique, sucre vanillé et cannelle.
Le sablé normand remonterait au début du XVIIIe siècle, défini comme « une espèce de pâtisserie assez recherchée, et qui s’émiette comme du sable quand on la mange ». Vers 1870, Littré introduit le mot « sablé » dans son dictionnaire, le décrivant comme « nom d’une sorte de gâteau en Normandie ». Le palet normand se différencie de son voisin le palet breton par son léger moelleux et les ingrédients qui le composent issus du terroir normand. Dès 1903, la Maison du Biscuit fabriquait des palets normands à Sortosville en Beaumont dans la Manche.
Friables et légers, faciles et rapides à préparer, ils se dégustent lors des collations de la journée.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 15 min |
Temps de repos : 1 h |
Temps de cuisson : 15 min |
Temps total : 30 min + 1 h (repos) |
6 personnes |
275 g de farine |
170 g de sucre de canne |
160 g de beurre demi-sel coupé en morceaux |
4 jaunes d’œufs |
1 sachet de levure chimique |
2 sachets de sucre vanillé |
2 pincées de cannelle |
Préparation :
- Dans un bol, ajouter le beurre coupé en petits morceaux puis le sucre, le sucre vanillé et les jaunes d’œufs et bien mélanger.
- Ajouter la farine et la levure chimique tamisées ensemble au préalable ainsi que la cannelle et remuer rapidement avec les doigts jusqu’à obtenir un mélange sableux.
- Former une boule de pâte, couvrir et mettre 1 h au réfrigérateur.
- Fariner le plan de travail et abaisser la pâte à 5 mm d’épaisseur.
- Découper des ronds de pâte avec un verre.
- Préchauffer le four en mode statique à 170°C.
- Couvrir la plaque du four de papier sulfurisé, y disposer les ronds de pâte en les espaçant.
- Enfourner durant 15 à 20 min sans trop les faire trop brunir.
- Laisser tiédir avant de les détacher avec une spatule.
- Laisser refroidir sur une grille.
- Servir et déguster !
Citation sur la cuisine :
« La cuisine ne s’apprend pas réellement. La cuisine on la vit. On la vit et on a une folle envie de la faire. »
Olivier Roellinger