GRATIN DAUPHINOIS

Le gratin dauphinois ou pommes de terre à la dauphinoise est un plat gratiné composé de pommes de terre jaunes et pas trop fermes, crème fraîche et lait. Il ne comporte ni fromage ni œufs.

Spécialité dauphinoise, il est mentionné pour la première fois le 12 juillet 1788 à l’occasion d’un dîner offert aux officiers municipaux de la ville de Gap dans le Dauphiné par le duc Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre.
Dans certaines régions du Haut Vercors, de vieux restes de fromage de l’année étaient parfois utilisés. Le gratin savoyard est une variante du gratin dauphinois, sans lait, ni œufs, ni crème.

Facile à préparer, ce plat savoureux se déguste lors des repas accompagné d’une salade verte.

Niveau de difficulté : facile
Temps de préparation : 15 min
Temps de repos :
Temps de cuisson : 2 h 30 min
Temps total : 2 h 45 min
6 personnes
750 g de pommes de terre jaunes à chair pas trop ferme (Monalisa, Charlotte, Roseval, belle de Fontenay…)
400 ml de lait entier
350 ml de crème liquide entière
1 gousse d’ail
1 noix de muscade
beurre
sel/poivre

Préparation :

  • Préchauffer le four en mode statique à 150°C.
  • Éplucher les pommes de terre, laver puis couper en fines rondelles.
  • Ne pas rincer les pommes de terre une fois coupées en rondelles.
  • Éplucher la gousse d’ail et frotter le fonds d’un plat allant au four.
  • Beurrer le plat.
  • Étaler une couche de pommes de terre, saler, poivrer et râper par dessus un peu de muscade.
  • Étaler une deuxième couche de pommes de terre, saler, poivrer et râper un peu de muscade.
  • Répéter l’opération jusqu’à arriver en haut du plat.
  • Verser le lait et la crème de sorte à juste couvrir les pommes de terre.
  • Enfourner entre 2 h 30 min et 3 h.
  • Surveiller régulièrement pour ne pas brûler le dessus.
  • Le gratin est prêt lorsqu’une lame de couteau peut être insérée facilement au centre du plat.
  • Servir chaud.
  • Déguster !

Citation sur la cuisine :

« La cuisine ne s’apprend pas réellement. La cuisine on la vit. On la vit et on a une folle envie de la faire. »

Olivier Roellinger