Une Dampfnüdel est un petit pain blanc ou pain au lait composé de farine, eau, levure, sel, beurre ou margarine, œufs et éventuellement sucre; gonflé à la vapeur.
Spécialité du sud de l’Allemagne (Bavière et Palatinat) et d’Autriche, il se retrouve dans le nord-est de la France, en Alsace-Moselle, ainsi qu’au Luxembourg et en Suisse.
En Bavière, il existe des Dampfnudeln fourrées.
Les Dampfnudeln sont généralement servies comme plat principal avec du chou, de la salade, des cornichons, de la soupe de pommes de terre, de la soupe aux lentilles, ou des champignons dans de la sauce blanche. Elles peuvent également être servies comme dessert avec de la crème à la vanille, de la confiture ou des fruits.
Niveau de difficulté : facile |
Temps de préparation : 20 min |
Temps de repos : 1 h 30 min |
Temps de cuisson : 6 min |
Temps total : 26 min + 1 h 30 min (repos) |
6 personnes |
500 g de farine de type T55 |
125 g de lait écrémé |
100 g de sucre en poudre |
1 cuillère à soupe de levure de boulanger fraîche |
1 œuf |
2 cuillères à café de sel |
75 g de beurre mou |
Cuisson : |
3 cuillères à soupe d’huile |
200 ml d’eau tiède |
40 g de gros sel |
Préparation :
- Dans une grand bol, délayer la levure avec le sel, le sucre, le beurre mou et le lait tiédi.
- Ajouter la farine tamisée et les œufs.
- Travailler la pâte en la soulevant pour l’aérer jusqu’à ce qu’elle se détache du bol et ne colle plus au doigts.
- Laisser lever la pâte durant 1 h.
- Abaisser au rouleau, sur un plan fariné jusqu’à une épaisseur de 3 cm.
- Découper avec un verre passé dans de la farine pour obtenir des rondelles.
- Laisser reposer encore 30 min.
- Faire chauffer l’huile dans une cocotte.
- Dès que l’huile est chaude, mettre les rondelles de pâte à l’intérieur de la cocotte.
- Ajouter rapidement l’eau tiède et fermer immédiatement avec le couvercle.
- Faire cuire entre 5 et 10 min le temps qu’une petite croûte jaune dorée se forme.
- Sortir et laisser refroidir.
- Servir et déguster !
Citation sur la cuisine :
« La cuisine est la base du véritable bonheur. »
Auguste Escoffier